Ce qu'on apprend vraiment en décortiquant les bilans
Les chiffres mentent rarement, mais ils ne disent pas tout. J'ai vu des entreprises prospères sur papier qui peinent à payer leurs fournisseurs à temps. Et l'inverse aussi.
L'interprétation demande du contexte. Un ratio d'endettement de 65% peut signaler un danger dans le retail mais rester normal dans l'immobilier. C'est là que l'expérience sectorielle compte.
- Les moyennes sectorielles servent de repère, pas de verdict absolu
- La trésorerie prévisionnelle révèle souvent plus que le bilan annuel
- Trois indicateurs bien choisis valent mieux que vingt mal compris
- Les tendances trimestrielles disent plus que les photos annuelles
On forme des dirigeants et des gestionnaires à ces approches à partir de septembre 2025. Le but n'est pas de créer des experts-comptables, mais des décideurs capables de poser les bonnes questions quand les chiffres deviennent flous.